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27/04/2010

Je me suis décidée à devenir propriétaire !

Je me suis décidée à devenir propriétaire ! Pour avoir beaucoup entendu parler de Shagya, j'ai entrepris de faire le pas...

Mes deux chevaux de travail prenant de l’âge (17 et 20 ans), il me faut penser à la relève ! Ce que j’ai fait à l’automne en prenant un jeune demi-sang arabe au sevrage. Celui-ci, bien encadré par les deux « tontons » s’ennuie un peu, je vais donc lui trouver un copain Shagya (il me fallait bien un prétexte !).

Volkan Arverne

La décision prise, je me plonge dans les recherches… et je découvre le site de l’AFCAS, quel bel outil ! On y trouve une multitude d’informations sur la race, mais surtout, une liste d’éleveurs avec les chevaux à vendre. Agrémenté de nombreuses photos, bien construit, mis à jour très régulièrement, c’est un plaisir de naviguer sur ce site, on regretterait juste quelques précisions (amis éleveurs) sur vos chevaux : taille, caractère, condition de vie …

Le choix de l’élevage n’est pas facile, mais mes origines auvergnates me mène naturellement … en terre volcanique !
L’accueil y est cordial, l’élevage mené avec sérieux et en « bon père de famille » ; le jeune poulain que j’avais repéré ne me déçoit pas : à 1 an, il est licolé, séparé de ses congénères et mis seul dans un boxe sans qu’il soit plus inquiet que ça (il paraît que c’est normal, c’est un Shagya !). Ensuite, on le tourne en longe en carrière où il développe de jolies allures, on le provoque pour voir son niveau d’émotivité (bien plus bas que mon jeune demi-sang arabe) on lui regarde les pieds qu’il donne sans difficulté…, il exécute sans problème toutes nos demandes, de toute évidence, le poulain a été bien élevé d’autant qu’il a été paré, vermifugé et vacciné.

Volkan Arverne

Bref, à l’heure qu’il est, le poulain a rejoint mes chevaux (après avoir voyagé sans problème et être très facilement monté dans le van) et peut-être que dans quelques années, il m’accompagnera dans mon travail de garde à cheval et sur les chemins de l’endurance…
à suivre donc …

Texte écrit par Maryline. Crédits photographiques : Valérie Du Retail.

Volkan Arverne